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Publi-reportage : Les arts et l’appétit


À Folk on the Rocks, la musique, c’est inévitable, les bénévoles, c’est incontournable. Les moments forts, capturés avec grande attention par la photographe officielle, inéluctable. Un festival sans artisans

et vendeurs d’alimentation? Inconcevable!

« L’appétit est de mise »


De la poutine à la crème glacée en passant par des spécialités asiatiques ou des jus fraichement pressés, il y en aura pour toutes les papilles pour l’édition 2017 du FOTR. La variété de l’offre est l’un des critères les plus importants d’après Carly Bradley, directrice générale du festival. « On essaie de donner une chance à tous les demandeurs, mais on doit s’assurer que tous les palais y trouvent leur compte. On est prêts, on a hâte de recevoir tout le monde, et on espère que l’appétit du public sera de mise. »

Les vendeurs en alimentation doivent respecter certaines règles afin de pouvoir distribuer de la nourriture pendant le festival. Un permis temporaire, délivré par l’Administration de santé territoriale Stanton, est indispensable. Par ailleurs, les organisateurs du festival insistent sur un autre point : les restaurateurs doivent être le plus verts possible. Cela veut dire d’offrir des contenants compostables et de s’approvisionner localement, dans la mesure du possible. Ecology North sera aussi de la partie, pour faciliter la démarche et sensibiliser le public.

La passion au service des festivaliers


Kavin Paradis, co-propriétaire de Big Guy Fries, met la main à la pâte chaque année depuis les 17 ans qu’il a passés à Yellowknife. Fan fini de musique et du festival, il y tiendra son kiosque à poutine pour la 3e année consécutive. D’après lui, c’est une excellente occasion de se faire plaisir et d’offrir de la bonne bouffe au public, tout en profitant de l’ambiance de Folk on the Rocks. « J’adore le faire. »

« C’est ce qui rend ce festival, si génial » alimente Jesse Reid, qui cumule les titres de gestionnaire des relations avec les artistes et de coordinatrice de l’hospitalité. « Tout le monde y met du cœur et de la passion pour que les festivaliers et les artistes aient la meilleure expérience possible. Il y a beaucoup de choses à penser et d’imprévus avec lesquels on doit composer, mais cela crée une ambiance amusante, parfois folle, dans laquelle on noue des amitiés pour la vie.»

Rassembler et mettre en avant la communauté


Outre les charmeurs de palais, le festival rassemble également nombre d’organismes à but non lucratif de Yellowknife et d’artisans pour leur donner une chance de se rapprocher du public et mieux faire connaitre leurs activités. « Ça fait partie de nos priorités », précise Carly Bradley.

Pascaline Gréau (Simplement Henna) est l’une de ces artistes. Présente au festival depuis près de cinq ans, elle pratique le tatouage au henné. « Je participe, car c’est un festival plaisant, à une époque plaisante de l’année et que je peux faire ce que j’aime faire pendant des heures. Ça fait du bien de voir que les gens apprécient, et qu’ils en redemandent! C’est un bon moyen de se faire connaitre et de se faire plaisir. » C’est aussi un moyen de se lancer, comme c’est le cas de Rhiannon Essery White, qui réalise un rêve d’enfance. Elle tiendra pour la première fois un étal de confections artisanales de macramé et de cartes de vœux.

Tout est là pour assurer une grande édition du festival.

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