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  • SAS #2 - Remerciements

    Grâce au soutien du soutien du Conseil des Arts des Territoires du Nord-Ouest, Radio Taïga a offert, pour la deuxième année consécutive, divers ateliers de création sonore à la communauté ténoise dans le cadre de la Semaine des Arts du Sons 2. Le 1e février, ce sont 4 cinéastes amateurs qui ont profité des soins de La Clinique du Nord-Mort dans le cadre du festival de film Dead North. Les participants ont passé 1 heure à tour de rôle avec un professionnel du son, afin de récolter des commentaires et des conseils pour améliorer la captation sonore et le traitement et montage générale de la bande sonore d'un court-métrage. Jay Bulckaert, organisateur du Festival de film Dead North, a été instrumental dans la propagation de l'événement auprès des réalisateurs. Du 4 au 7 mars, l'équipe de Radio Taïga s'est mobilisée à Hay River pour animer des ateliers de formation auprès de la communauté francophone. La contribution du concessionnaire automobile YK Motors a notamment permis de faciliter le transport de l'équipe de Radio Taïga jusque là, en mettant un véhicule à sa disposition pour la durée du séjour. Le 4 mars, une session d'introduction au journalisme radio a été offerte à une monitrice de langue de l'école Boréale. Sous le thème Raconter une histoire à la radio, plusieurs formats et techniques préparatoires à la réalisation d'un segment de radio étaient présentés. D'ailleurs, si Édith Vachon-Raymond, de l'Association Franco-culturelle de Hay River ne nous avait pas ouvert les portes et laisser déballer nos équipements, ça n'aurait peut-être pas été possible! Alors, merci, cela nous a aussi permis de réaliser l'émission Bonjour, là !, le 5 au matin, malgré quelques soucis techniques. Les 5 et 6 mars, deux ateliers de 2 heures ont été offert à un total de 7 jeunes de l'École Boréale de Hay River. Les écoliers de 9e année ont pu mettre en pratique les concepts présentés lors d'un atelier orienté vers la mise en situation. Plusieurs Vox-pop ont ainsi été réalisé puis diffusé dans l'émission Bonjour, là !, le rendez-vous d'information matinal et quotidien de Radio Taïga, réalisée depuis l'école Boréale pour l'occasion. Le 7 mars, un atelier sur la création de balados (podcast) a été offerte à 3 habitants de Hay River. (On a quelques soucis technique en début d'émission, une fois passées les premières minutes, ça vaut l'écoute.) Dans le même temps, Radio Taïga a profité de son passage à Hay River pour accueillir deux nouveaux journalistes au sein de sa salle de nouvelle partagée avec le journal L'Aquilon. Les deux journalistes, nouveaux arrivants aux T.N.-O, ont pu découvrir la communauté du Slave Nord ainsi que les réalités démographiques et socio-économiques de la deuxième ville des T.N.-O. Par ailleurs, Radio Taïga a également tenu des rencontres de formation et de partage de connaissances et organisé une activité de consolidation d'équipe avec Northern Escape. Enfin, merci aux participants des ateliers! Radiophoniquement.

  • Yellowknife en faveur du vote des résidents permanents

    Lors de la séance du 9 mars, le conseil municipal de Yellowknife a voté en faveur d’une proposition de projet de loi qui accorderait le droit de vote aux résidents permanents dans le cadre des élections municipales. La quasi totalité des conseillers se sont ralliés à la motion présentée le 24 février dernier par le député de Yellowknife Nord, Rylund Johnson. Le projet de loi sera déposé à l’Assemblée législative lors de la session de juin, pour une première lecture. Il s’agit la de la première étape d’un long processus qui devra faire son chemin à l’échelle du territoire. On vise un amendement de la loi sur les collectivités à temps pour les élections de 2022. Le député de Yellowknife Nord, Rylund Johnson, assiste à la séance du conseil municipal de Yelowknife où une motion sur l'appui de son projet de loi sur le vote des résidents permanents est débattue. (Photo: Thomas Ethier) Maintenant que la ville de Yellowknife s’est engagée, la prochaine étape est d’aller vers l’association des collectivités des Territoires du Nord-Ouest et d’obtenir l’appui de la majorité des membres de l’Assemblée législative pour apporter ce changement. - Rylund Johnson, député de Yellowknife Nord Un appui presque unanime Le conseil municipal de Yellowknife est passé au vote au terme d’une période de débat aux voix essentiellement concordantes. Une seule voix s’est opposée à la motion, celle de la conseillère Stacey Smith qui affirme avoir relevé des préoccupations parmis plusieurs citoyens de Yellowknife. Ces derniers souhaiteraient que le droit de vote demeure un privilège réservé aux citoyens canadiens, comme le prévoit la constitution. Mme Smith a également souligné l’importance, selon elle, de faire plutôt pression sur le gouvernement fédéral afin de faciliter le processus d’obtention de la citoyenneté canadienne pour les résidents de régions éloignées. Citoyenneté: un processus laborieux À l’heure actuelle, pour les résidents de Yellowknife, les étapes d’obtention de la citoyenneté impliquent des déplacements à Edmonton, ce qui impose des frais et des délais importants. "Nous devrions nous pencher sur ce processus; pourquoi est-ce si long ?", a soulevé Mme Smith. Certains députés ont toutefois répliqué que des changements au processus de citoyenneté nécéssitent un engagement du gouvernement du Canada. Une initiative menée à l’échelle territoriale, telle que le projet de loi proposé par Rylund Johnson, entraînerait selon eux des résultats plus rapide en faveur de l’inclusion des résidents permanents. De passage à l'émission "Bonjour, là!", le journaliste Thomas Ethier rend compte de la réunion du conseil municipal du 9 mars 2020 au cours de laquelle les conseillers se sont prononcés en faveur du vote des résidents permanents.

  • Covid-19: les Ténois présents au PDAC seront évalués

    Les Ténois qui ont participé à la conférence minière PDAC la semaine dernière seront tous évalués par les autorités sanitaires, en lien avec le virus COVID-19. L'administratrice en chef de la santé publique des TNO, la Dr Kami Kandola, l’a confié à Radio Taïga après une conférence de presse sur l’état de la situation aux TNO dans le contexte de pandémie mondiale, mercredi matin. Nous nous entretiendrons avec les participants à [la conférence PDAC] et s'ils présentent des symptômes, nous allons faire le test [de dépistage] pour la COVID-19. - Dr Kami Kandola, administratrice en chef de la santé public des TNO Selon la Dre. Kandola, il s'agit d'une décision de dernière heure. Les personnes qui ont participé à la conférence PDAC seraient en train d'être contactées par les autorités sanitaires. La conférence de l'Association canadienne des prospecteurs et entrepreneurs miniers (PDAC) s'est déroulée à Toronto les 2 et 3 mars dernier et réunissait plus de 25 000 participants en provenance de 130 pays. Le 11 mars, la Presse Canadienne a rapporté qu'au moins une personne ayant contracté le virus était présente à la conférence, un cas dit de « propagation dans la communauté ». L'homme de Sudbury en Ontario est présentement placé en isolement chez lui. Une délégation des TNO a pris part à la conférence, y compris la ministre de l'Industrie, du Tourisme et de l'Investissement, Katrina Nokleby. La ministre de l'Industrie, du tourisme et de l'investissement des TNO lors de la conférence PDAC à Toronto, le 2 mars (source: GTNO) Jusqu'à présent, aucun cas d'infection à la COVID-19 n'a été répertorié aux Territoires du Nord-Ouest. Plus d'une trentaine de Ténois ont été testés; tous ont obtenu un résultat négatif. Information en français sur la COVID-19 sur le site web du GTNO. Cet article sera mis à jour au courant de la journée et au fur à mesure que la situation évoluera.

  • CPF: une année de renouveau

    La division ténoise de l’organisme Canadian Parents for French (CPF) tenait, le 2 mars, son assemblée générale annuelle, dans une optique de renouvellement de son membership et de sa présence dans la communauté. Rassemblés à l'hôtel Nova, les membres du conseil d’administration ont nommé leur nouvelle présidente: Maggie Hawkes. Mère de deux enfants, elle même anglophone francophile et fortement engagée dans les activités d’immersion en français de la région, Mme Hawkes entend relever le défi de l’heure: se rapprocher des parents et enfants en programmes d’immersion et recruter de nouveaux membres au sein des trois chapitres du CPF aux TNO. L’année 2019 a été marquée par des départs et entrées en poste. Cela a imposé une période de transition et d’apprentissages pour le conseil d’administration. Les nouveaux administrateurs ont ainsi dû s’approprier la mission de l’organisme. On voudrait faire un renouvellement de nos objectifs et de notre membership, pour connaître les gens et leurs enfants dans le système, ainsi que les nouveaux arrivants. C’est vraiment important d’essayer de connecter avec ces personnes quand elles arrivent pour [...] pouvoir savoir ce qu’on peut faire pour les aider. - Maggie Hawkes, présidente, CPF TNO Un nouveau conseil d’administration Pour l’heure, Maggie Hawkes a été élue présidente par acclamation; David Wasylciw conserve son rôle de vice-président au sein du conseil et la trésorerie sera attribuée lors d’une prochaine rencontre du CA. Un siège est également vacant. On recherche une personne interpellée par les question du bilinguisme et de l’immersion francophone afin de compléter l’équipe. Écoutez l'entretien avec Thomas Ethier à l'émission "Bonjour, là!"

  • Un budget de bouts de chandelle

    Aux prises avec des revenus stagnants et des besoins grandissants, le gouvernement des Territoires du Nord-Ouest se retrouve sans grande marge de manoeuvre pour accomplir ses priorités de programme. Dans le discours du budget, prononcé en chambre le 25 février, la ministre des Finances, Caroline Wazonek a annoncé qu'il faudra faire montre de créativité au cours des prochaines années pour doter convenablement les différents postes budgétaires. En présentant un budget équilibré de 1,9 milliards $, la ministre a du même coup annoncé un examen en profondeur des dépenses gouvernementales pour tâcher de maximiser chaque dollar. Nous mettrons en place une approche systématique d'évaluation des programmes et services. Tous les ministères seront mis a partie pour mettre en place des mesures d'évaluation de la performance afin de nous assurer que nous dégagions un retour optimal de nos investissements. -- Caroline Wawzonek, ministre des Finances des TNO Ce budget, qui anticipe un léger excédent de 200 millions $, ne comprends pas de compressions, mais il ne s'illustre pas non plus par des ré-investissements importants. La député de Yellowknife Centre, Julie Green, estime que le gouvernement n’avait pas vraiment d’autre choix que de présenter un exercice sans grand éclat. C'est la réalité. Le surplus sera mince cette année, et il le sera d'autant plus dans les années à venir. Il n'y a tout simplement plus autant d'argent qu'auparavant. -- Julie Green, députée de Yellowknife Centre Le député de Tu Nedhé-Wiilideh, Steeve Norn, estime quant à lui que davanatage aurait pu être mis de l'avant pour les petites collectivités. J’aurais aimé voir plus d’initiatives pour les petites collectivités,plus d’occasion d’emploi, plus d’occasions d’affaires. Je pense que, à cet égard, le gouvernement peut faire plus pour nos petites collectivités. --Steeve Norn, député de Tu Nedhé-Wiilideh Relever le plafond d'emprunts Dans le discours du budget, la ministre des Finances a évoqué la nécessité de négocier avec le gouvernement fédéral une nouvelle hausse du plafond d’emprunts du territoire. Contrairement aux provinces, les territoires sont limités dans leur capacité d’obtenir du crédit. C’est un règlement fédéral qui détermine le montant maximal que les territoires peuvent emprunter chaque année. La limite des territoires du Nord-Ouest est présentement fixée à 1,3 milliard $, alors que celle du Yukon est d’à peine 400 000 $. La députée Julie Green s'oppose à une nouvelle hausse du seuil d'endettement. Je ne pense pas que [relever le plafond d'emprunts] soit une approche durable. C’est comme augmenter la limite sur sa carte de crédit. Si l’on ne sait pas comment on pourra obtenir les fonds nécessaire pour effectuer ses paiements, pourquoi réclamer une plus grande capacité d’emprunt? C’est la même chose pour le gouvernement territorial. --- Julie Green, députée de Yellowknife Centre Le député de Frame Lake, Kevin O'Reilly, estime pour sa part que la solution aux problèmes budgétaires de l'État ténois réside plutôt dans la création de nouveaux revenus de taxation. Il propose une taxe sur les ressources minières. Il faut taxer la ressource au moment où on l’exploite. On ne doit pas attendre que les corporations choisissent où elles préfèrent déclarer leurs revenus. C'est ridicule de croire qu'on conservera une partie des bénéfices de l’industrie minière dans le Nord de cette façon. Nous avons besoin d’une approche beaucoup plus stable et prévisible, c’est-à-dire en taxant la ressource plutôt que les profits. Nous aurions dû faire cela il y a 20 ans, au début de la mise en production des mines de diamants. Nous aurions un fonds des générations bien mieux garni. -- Kevin O'Reilly, député de Frame Lake Pour le gérant de la Banque Royale du Canada àYellowknife Yanik D'Aigle, la décision de hausser le plafond d'emprunts doit être prise prudemment et tenir compte de l'usage qui sera fait du crédit. Selon lui, il n'est pas soutenable d'emprunter pour couvrir des dépenses de fonctionnement, alors que des investissements structuraux seraient plus prudent. Pour prononcer le discours du budget, la ministre des Finances des Territoires du Nord-Ouest était chaussée d'escarpins élégants recouverts de peau de phoque gris. Le budget territorial 2020-2021 : survol 1,9 milliards $ de dépenses au total 2,2 milliards $ de revenus 82 % des revenus provient du gouvernement fédéral Près de la moitié des dépenses est partagée entre les ministères de la Santé et des Services sociaux(28 %) et de l’Éducation, de la Culture et de la Formation (18 %) 331 000 $ de revenus anticipés sur les taxes sur le cannabis ; la moitié moins que ce qu’on envisageait avant la légalisation 57 nouveaux postes créés dans la fonction publique 203 millions $ de surplus anticipés cette année; 3 millions $ en 2023-2024 Les revenus anticipés de la taxe carbone augmentent de plus du double, passant de 12 millions $ à 29 millions $ 10 millions $ de nouveaux investissements en infrastructures Quelques nouvelles dépenses 4 millions $ pour 72 nouvelles places en soins de longue durée à l’hôpital Stanton 3 millions $ pour le fonctionnement de l’hôpital Stanton 1,5 millions $ pour la santé mentale, le traitement des dépendances et les soins à domicile 660 000 $ pour la réfection de la route Dempster 390 000 $ pour la recherche sur le pergélisol dans le delta du Mackenzie 250 000 $ pour les traversiers de la vallée du Mackenzie 176 000 $ pour le tourisme dans le delta du Mackenzie 150 000 $ pour les pêcheries à Hay River

  • Rafle des années 1960: vers une fondation pour les survivants

    Le samedi 8 février, des survivants des rafles des années 1960 se sont rencontrés à Yellowknife. Suite aux excuses du Canada pour son rôle dans l'enlèvement et la mise en adoption forcée de plus de 20 000 enfants autochtones entre 1960 et 1990, une fondation est sur le point d'être mise en place pour soutenir les survivants. La journaliste de l'Aquilon Cécile Antoine-Meyzonnade nous explique de quoi il en retourne. Écoutez notre entretien avec Cécile Antoine-Meyzonnade

  • Centre franco-ténois: plus d'espace pour les bureaux que pour la communauté

    Le projet de centre communautaire franco-ténois qui a été soumis aux baîlleurs de fonds fédéraux prévoit beaucoup d'espace pour loger les organismes francophones et leurs partenaires --- ainsi qu'un modeste espace public. Le projet, qui a été présenté au public lors d'une séance d'engagement communautaire à la Northern United Place de Yellowknife, le 11 février, laisse entrevoir un bâtiment neuf d'environ 15 000 pieds carrés de surface, dont un peu moins de 1000 pieds carrés (7%) seraient consacrés à une salle communautaire multi-usage. "On appelle ça un centre culturel, mais, en fait, c'est plus un édifice de bureaux", a commenté Michel Lanteigne, un résident franco-ténois présent à la rencontre. Pour Jean de Dieu Tuyishime, le projet ne correspond pas à l'idée quil se faisait d'un centre communautaire. "Ça m'a donné l'impression qu'on a quand on rentre à l'assemblée législative", dit-il, soit un espace correct pour y tenir des événements, mais désincarné. "Nous avons radicalement réduit l'ampleur du projet", a expliqué l'architecte Rod Kirkwood de la firme d'ingéniérie Stantec qui a été retenue pour effectuer l'étude de faisabilité du centre. "Le plus important, c'est d'avoir un centre pour se rassembler", a indiqué la directrice générale de la Fédération franco-ténoise (FFT), Linda Bussey, pour expliquer le choix de cantonner l'aspect communautaire et culturel du projet à une salle multi-usage. Selon M. Kirkwood, des espaces culturels publics plus étendus avaient été initialement envisagés, mais il a été déterminé que l'entretien de ces lieux serait trop coûteux. Quant à la possibilité de louer ponctuellement des espaces lorsqu'ils ne sont pas utilisés par les Franco-Ténois, les consultants ont estimé que le marché était trop restreint pour que ce soit viable économiquement. D'après l'architecte, la salle multi-usage, d'environ 30 pieds de diamètre, aurait une capacité d'un peu moins de 100 places et pourrait accueillir une petite scène. Des schémas conceptuels présentés par la firme d'ingéniérie Stantec suggèrent un édifice à trois étages potentiellement sis sur la 51e rue de Yellowknife. Si cette conception est appelée à évoluer, les proportions dédiées aux organismes locataires par rapport aux espaces communautaires, elles, semblent immuables. Le plan d'affaires du projet a, en effet, été soumis aux baîlleurs de fonds fédéraux à la fin janvier 2020. Le projet évalué à environ 16 millions de dollars, prévoit que le bâtiment soit la propriété de la FFT et qu'il loge les principaux organismes francophones de la capitale, dont Radio Taïga. On compte aussi louer des espaces au gouvernement des Territoires du Nord-Ouest pour le comptoir Services TNO et pour une éventuelle clinique de santé en français.

  • Rapport sur l'Éducation aux TNO: des lacunes dans tous les aspects

    Dans un rapport sur l'éducation aux TNO publié le 6 février, le vérificateur général du Canada note des lacunes importantes dans la façon dont le territoire administre l'éducation de la maternelle à la 12e année. "Nous avons identifié des lacunes dans chacun des aspects étudiés dans notre évaluation", a signalé le directeur principal du bureau du vérificateur général, Glenn Wheeler, lors d'un point de presse. Dans son rapport, le vérificateur général relève notamment: Que très peu de progrès ont été effectué quant à l'éducation en langues autochtones qui demeure, pour l'essentiel, non-disponible. Que le ministère sur-évalue significativement le taux de diplomation. Que les élèves des petites collectivités sont nettement plus en difficulté que ceux de la capitale ou des centre régionnaux. Le vérificateur général souligne toutefois que le GTNO a fait des progrès importants quant à l'accessibilité de l'éducation pour les élàves qui ont des besoins spéciaux. Le ministre de l'Éducation de la Culture et de la Formation, RJ Simpson, a répondu au rapport et s'est engagé à mettre en oeuvre l'ensemble des recommandations du vérificateur général. De passage à "Bonjour, là!", la journaliste de L'Aquilon Cécile Antoine-Meyzonnade nous résume la situation. Rapport du vérificateur général: le compte-rendu de Cécile Antoine-Meyzonnade

  • Comme un p'tit gars

    Maxime Carpentier en compagnie du vétéran de la NHL et membre du Temple de la renommé du hockey Lanny Macdonald Maxime Carpentier a remporté le concours de "Bonjour, là!" à l'occasion de la Journée du Hockey qui se déroule du 5 au 8 février à Yellowknife. Jeudi, ce partisan du Canadien de Montréal a eu le privilège d'aller patiner à l'aréna Multiplex en présence de la coupe Stanley et d'anciens joueurs de la Ligue Nationale de Hockey. Nous avons recueilli ses impressions. Je ne suis pas du genre à être star-struck d'habitude, mais je dirais que d'être en présence d'anciens joueurs de la LNH et de la coupe Stanley, ça m'a fait monter des belles émotions d'enfance. - Maxime Carpentier Écoutez notre entretien avec Maxime Carpentier

  • Marcher (et parler) jusqu'à Tuk en français

    À Yellowknife, un groupe de francophiles relève le défi Walk to Tuk (Marcher jusqu'à Tuk), dont c'est la 10e édition cette année. Or, ce groupe de marcheurs qu'on appelle "Les Voyageurs" ne se contente pas de franchir les 1658 kilomètres réglementaires, ils en profitent également pour converser en français. Dans leur cas les babines suivent définitivement les bottines. Quand tu parles une langue qui n'est pas ta langue maternelle, parfois tu te sens très nerveux, tu es stressé, mais quand les gens sont très gentils comme [ce groupe de marcheurs], c'est beaucoup plus facile. - Robin Young, de l'équipe Les Voyageurs Le directeur de la programmation de Radio Taïga, Nicolas Servel, les a rencontré. Notre entretien avec Les Voyageurs

  • Inspiration Arctique: l'éducation primée

    Les prix Inspiration Arctique ont été remis le 5 janvier lors d'une soirée de gala à Ottawa. C'est le projet Northern Compass, une initiative d'accompagnement académique pour les étudiants du Nunavut et des TNO, qui décroche le grand prix assorti d'une bourse d'un million de dollars. En tout, huit projets lauréats se sont vu remettre plus de 2,6 millions de dollars en bourses. Aux Territoires du Nord-Ouest, le projet Dehcho: River Journeys, présenté par le Conseil tribal Gwich'In a reçu la somme de 370 000 $ pour son projet multimédia explorant la façon dont le dernier siècle a transformé le fleuve Mackenzie. Le journaliste spécialisé dans les affaires nordiques et circumpolaires Denis Lord était sur place. Nous l'avons rejoins à l'émission"Bonjour, là!". Notre entretien avec le journaliste Denis Lord en direct d'ottawa

  • Centre culturel francophone: un projet de moindre envergure ?

    À quelque semaines de l'échéance pour soumettre un projet aux bailleurs de fonds fédéraux, la directrice générale de la Fédération franco-ténoise (FFT), Linda Bussey, était de passage dans notre studio pour nous expliquer où en est le projet de centre culturel et communautaire francophone. Il semble que les Franco-Ténois devront envisager un centre plus modeste que ce qu'on leur avait initialement fait miroiter. La firme d’ingénierie Stantec a été mandatée l'an dernier pour mener une étude de faisabilité sur l'établissement d'un centre culturel francophone dans la capitale territoriale. En plus d'espaces pour loger les principaux organismes franco-ténois, le centre comprendrait des espaces communautaires et culturels publics. Dans cet entretien à l'émission "Bonjour, là!", Mme Bussey laisse entendre que les francophones des TNO devront faire des choix, car leurs moyens sont en définitive limités. Là, on est rendu [à envisager] une salle multifonctionnelle. Il y aurait toujours la capacité d'y tenir des spectacles, mais ce ne serait pas la salle [de concert] qu'on avait mis sur papier. - Linda Bussey, directrice générale de la FFT L'ancien site de Ecology North sur la 51e rue serait envisagé pour une éventuelle construction, mais la directrice générale de la FFT évoque aussi la possibilité de construire sur le terrain de l'actuelle "Maison Bleue" où sont logés la FFT et certains autres organismes francophones (dont Radio Taïga). L'idée de combiner le projet de centre culturel avec l'établissement d'une nouvelle bibliothèque publique pour Yellowknife semble, en outre, définitivement écartée. Une ultime consultation publique sur le projet aura lieu le mardi 11 février à 18 h à la Northern United Place. C'est le dernier droit pour finaliser le projet. Une proposition doit être soumise aux bailleurs de fonds fédéraux à la fin mars 2020. Notre entretien avec la directrice générale de la FFT, Linda Bussey

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