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  • Un budget de bouts de chandelle

    Aux prises avec des revenus stagnants et des besoins grandissants, le gouvernement des Territoires du Nord-Ouest se retrouve sans grande marge de manoeuvre pour accomplir ses priorités de programme. Dans le discours du budget, prononcé en chambre le 25 février, la ministre des Finances, Caroline Wazonek a annoncé qu'il faudra faire montre de créativité au cours des prochaines années pour doter convenablement les différents postes budgétaires. En présentant un budget équilibré de 1,9 milliards $, la ministre a du même coup annoncé un examen en profondeur des dépenses gouvernementales pour tâcher de maximiser chaque dollar. Nous mettrons en place une approche systématique d'évaluation des programmes et services. Tous les ministères seront mis a partie pour mettre en place des mesures d'évaluation de la performance afin de nous assurer que nous dégagions un retour optimal de nos investissements. -- Caroline Wawzonek, ministre des Finances des TNO Ce budget, qui anticipe un léger excédent de 200 millions $, ne comprends pas de compressions, mais il ne s'illustre pas non plus par des ré-investissements importants. La député de Yellowknife Centre, Julie Green, estime que le gouvernement n’avait pas vraiment d’autre choix que de présenter un exercice sans grand éclat. C'est la réalité. Le surplus sera mince cette année, et il le sera d'autant plus dans les années à venir. Il n'y a tout simplement plus autant d'argent qu'auparavant. -- Julie Green, députée de Yellowknife Centre Le député de Tu Nedhé-Wiilideh, Steeve Norn, estime quant à lui que davanatage aurait pu être mis de l'avant pour les petites collectivités. J’aurais aimé voir plus d’initiatives pour les petites collectivités,plus d’occasion d’emploi, plus d’occasions d’affaires. Je pense que, à cet égard, le gouvernement peut faire plus pour nos petites collectivités. --Steeve Norn, député de Tu Nedhé-Wiilideh Relever le plafond d'emprunts Dans le discours du budget, la ministre des Finances a évoqué la nécessité de négocier avec le gouvernement fédéral une nouvelle hausse du plafond d’emprunts du territoire. Contrairement aux provinces, les territoires sont limités dans leur capacité d’obtenir du crédit. C’est un règlement fédéral qui détermine le montant maximal que les territoires peuvent emprunter chaque année. La limite des territoires du Nord-Ouest est présentement fixée à 1,3 milliard $, alors que celle du Yukon est d’à peine 400 000 $. La députée Julie Green s'oppose à une nouvelle hausse du seuil d'endettement. Je ne pense pas que [relever le plafond d'emprunts] soit une approche durable. C’est comme augmenter la limite sur sa carte de crédit. Si l’on ne sait pas comment on pourra obtenir les fonds nécessaire pour effectuer ses paiements, pourquoi réclamer une plus grande capacité d’emprunt? C’est la même chose pour le gouvernement territorial. --- Julie Green, députée de Yellowknife Centre Le député de Frame Lake, Kevin O'Reilly, estime pour sa part que la solution aux problèmes budgétaires de l'État ténois réside plutôt dans la création de nouveaux revenus de taxation. Il propose une taxe sur les ressources minières. Il faut taxer la ressource au moment où on l’exploite. On ne doit pas attendre que les corporations choisissent où elles préfèrent déclarer leurs revenus. C'est ridicule de croire qu'on conservera une partie des bénéfices de l’industrie minière dans le Nord de cette façon. Nous avons besoin d’une approche beaucoup plus stable et prévisible, c’est-à-dire en taxant la ressource plutôt que les profits. Nous aurions dû faire cela il y a 20 ans, au début de la mise en production des mines de diamants. Nous aurions un fonds des générations bien mieux garni. -- Kevin O'Reilly, député de Frame Lake Pour le gérant de la Banque Royale du Canada àYellowknife Yanik D'Aigle, la décision de hausser le plafond d'emprunts doit être prise prudemment et tenir compte de l'usage qui sera fait du crédit. Selon lui, il n'est pas soutenable d'emprunter pour couvrir des dépenses de fonctionnement, alors que des investissements structuraux seraient plus prudent. Pour prononcer le discours du budget, la ministre des Finances des Territoires du Nord-Ouest était chaussée d'escarpins élégants recouverts de peau de phoque gris. Le budget territorial 2020-2021 : survol 1,9 milliards $ de dépenses au total 2,2 milliards $ de revenus 82 % des revenus provient du gouvernement fédéral Près de la moitié des dépenses est partagée entre les ministères de la Santé et des Services sociaux(28 %) et de l’Éducation, de la Culture et de la Formation (18 %) 331 000 $ de revenus anticipés sur les taxes sur le cannabis ; la moitié moins que ce qu’on envisageait avant la légalisation 57 nouveaux postes créés dans la fonction publique 203 millions $ de surplus anticipés cette année; 3 millions $ en 2023-2024 Les revenus anticipés de la taxe carbone augmentent de plus du double, passant de 12 millions $ à 29 millions $ 10 millions $ de nouveaux investissements en infrastructures Quelques nouvelles dépenses 4 millions $ pour 72 nouvelles places en soins de longue durée à l’hôpital Stanton 3 millions $ pour le fonctionnement de l’hôpital Stanton 1,5 millions $ pour la santé mentale, le traitement des dépendances et les soins à domicile 660 000 $ pour la réfection de la route Dempster 390 000 $ pour la recherche sur le pergélisol dans le delta du Mackenzie 250 000 $ pour les traversiers de la vallée du Mackenzie 176 000 $ pour le tourisme dans le delta du Mackenzie 150 000 $ pour les pêcheries à Hay River

  • Rafle des années 1960: vers une fondation pour les survivants

    Le samedi 8 février, des survivants des rafles des années 1960 se sont rencontrés à Yellowknife. Suite aux excuses du Canada pour son rôle dans l'enlèvement et la mise en adoption forcée de plus de 20 000 enfants autochtones entre 1960 et 1990, une fondation est sur le point d'être mise en place pour soutenir les survivants. La journaliste de l'Aquilon Cécile Antoine-Meyzonnade nous explique de quoi il en retourne. Écoutez notre entretien avec Cécile Antoine-Meyzonnade

  • Centre franco-ténois: plus d'espace pour les bureaux que pour la communauté

    Le projet de centre communautaire franco-ténois qui a été soumis aux baîlleurs de fonds fédéraux prévoit beaucoup d'espace pour loger les organismes francophones et leurs partenaires --- ainsi qu'un modeste espace public. Le projet, qui a été présenté au public lors d'une séance d'engagement communautaire à la Northern United Place de Yellowknife, le 11 février, laisse entrevoir un bâtiment neuf d'environ 15 000 pieds carrés de surface, dont un peu moins de 1000 pieds carrés (7%) seraient consacrés à une salle communautaire multi-usage. "On appelle ça un centre culturel, mais, en fait, c'est plus un édifice de bureaux", a commenté Michel Lanteigne, un résident franco-ténois présent à la rencontre. Pour Jean de Dieu Tuyishime, le projet ne correspond pas à l'idée quil se faisait d'un centre communautaire. "Ça m'a donné l'impression qu'on a quand on rentre à l'assemblée législative", dit-il, soit un espace correct pour y tenir des événements, mais désincarné. "Nous avons radicalement réduit l'ampleur du projet", a expliqué l'architecte Rod Kirkwood de la firme d'ingéniérie Stantec qui a été retenue pour effectuer l'étude de faisabilité du centre. "Le plus important, c'est d'avoir un centre pour se rassembler", a indiqué la directrice générale de la Fédération franco-ténoise (FFT), Linda Bussey, pour expliquer le choix de cantonner l'aspect communautaire et culturel du projet à une salle multi-usage. Selon M. Kirkwood, des espaces culturels publics plus étendus avaient été initialement envisagés, mais il a été déterminé que l'entretien de ces lieux serait trop coûteux. Quant à la possibilité de louer ponctuellement des espaces lorsqu'ils ne sont pas utilisés par les Franco-Ténois, les consultants ont estimé que le marché était trop restreint pour que ce soit viable économiquement. D'après l'architecte, la salle multi-usage, d'environ 30 pieds de diamètre, aurait une capacité d'un peu moins de 100 places et pourrait accueillir une petite scène. Des schémas conceptuels présentés par la firme d'ingéniérie Stantec suggèrent un édifice à trois étages potentiellement sis sur la 51e rue de Yellowknife. Si cette conception est appelée à évoluer, les proportions dédiées aux organismes locataires par rapport aux espaces communautaires, elles, semblent immuables. Le plan d'affaires du projet a, en effet, été soumis aux baîlleurs de fonds fédéraux à la fin janvier 2020. Le projet évalué à environ 16 millions de dollars, prévoit que le bâtiment soit la propriété de la FFT et qu'il loge les principaux organismes francophones de la capitale, dont Radio Taïga. On compte aussi louer des espaces au gouvernement des Territoires du Nord-Ouest pour le comptoir Services TNO et pour une éventuelle clinique de santé en français.

  • Rapport sur l'Éducation aux TNO: des lacunes dans tous les aspects

    Dans un rapport sur l'éducation aux TNO publié le 6 février, le vérificateur général du Canada note des lacunes importantes dans la façon dont le territoire administre l'éducation de la maternelle à la 12e année. "Nous avons identifié des lacunes dans chacun des aspects étudiés dans notre évaluation", a signalé le directeur principal du bureau du vérificateur général, Glenn Wheeler, lors d'un point de presse. Dans son rapport, le vérificateur général relève notamment: Que très peu de progrès ont été effectué quant à l'éducation en langues autochtones qui demeure, pour l'essentiel, non-disponible. Que le ministère sur-évalue significativement le taux de diplomation. Que les élèves des petites collectivités sont nettement plus en difficulté que ceux de la capitale ou des centre régionnaux. Le vérificateur général souligne toutefois que le GTNO a fait des progrès importants quant à l'accessibilité de l'éducation pour les élàves qui ont des besoins spéciaux. Le ministre de l'Éducation de la Culture et de la Formation, RJ Simpson, a répondu au rapport et s'est engagé à mettre en oeuvre l'ensemble des recommandations du vérificateur général. De passage à "Bonjour, là!", la journaliste de L'Aquilon Cécile Antoine-Meyzonnade nous résume la situation. Rapport du vérificateur général: le compte-rendu de Cécile Antoine-Meyzonnade

  • Comme un p'tit gars

    Maxime Carpentier en compagnie du vétéran de la NHL et membre du Temple de la renommé du hockey Lanny Macdonald Maxime Carpentier a remporté le concours de "Bonjour, là!" à l'occasion de la Journée du Hockey qui se déroule du 5 au 8 février à Yellowknife. Jeudi, ce partisan du Canadien de Montréal a eu le privilège d'aller patiner à l'aréna Multiplex en présence de la coupe Stanley et d'anciens joueurs de la Ligue Nationale de Hockey. Nous avons recueilli ses impressions. Je ne suis pas du genre à être star-struck d'habitude, mais je dirais que d'être en présence d'anciens joueurs de la LNH et de la coupe Stanley, ça m'a fait monter des belles émotions d'enfance. - Maxime Carpentier Écoutez notre entretien avec Maxime Carpentier

  • Marcher (et parler) jusqu'à Tuk en français

    À Yellowknife, un groupe de francophiles relève le défi Walk to Tuk (Marcher jusqu'à Tuk), dont c'est la 10e édition cette année. Or, ce groupe de marcheurs qu'on appelle "Les Voyageurs" ne se contente pas de franchir les 1658 kilomètres réglementaires, ils en profitent également pour converser en français. Dans leur cas les babines suivent définitivement les bottines. Quand tu parles une langue qui n'est pas ta langue maternelle, parfois tu te sens très nerveux, tu es stressé, mais quand les gens sont très gentils comme [ce groupe de marcheurs], c'est beaucoup plus facile. - Robin Young, de l'équipe Les Voyageurs Le directeur de la programmation de Radio Taïga, Nicolas Servel, les a rencontré. Notre entretien avec Les Voyageurs

  • Inspiration Arctique: l'éducation primée

    Les prix Inspiration Arctique ont été remis le 5 janvier lors d'une soirée de gala à Ottawa. C'est le projet Northern Compass, une initiative d'accompagnement académique pour les étudiants du Nunavut et des TNO, qui décroche le grand prix assorti d'une bourse d'un million de dollars. En tout, huit projets lauréats se sont vu remettre plus de 2,6 millions de dollars en bourses. Aux Territoires du Nord-Ouest, le projet Dehcho: River Journeys, présenté par le Conseil tribal Gwich'In a reçu la somme de 370 000 $ pour son projet multimédia explorant la façon dont le dernier siècle a transformé le fleuve Mackenzie. Le journaliste spécialisé dans les affaires nordiques et circumpolaires Denis Lord était sur place. Nous l'avons rejoins à l'émission"Bonjour, là!". Notre entretien avec le journaliste Denis Lord en direct d'ottawa

  • Centre culturel francophone: un projet de moindre envergure ?

    À quelque semaines de l'échéance pour soumettre un projet aux bailleurs de fonds fédéraux, la directrice générale de la Fédération franco-ténoise (FFT), Linda Bussey, était de passage dans notre studio pour nous expliquer où en est le projet de centre culturel et communautaire francophone. Il semble que les Franco-Ténois devront envisager un centre plus modeste que ce qu'on leur avait initialement fait miroiter. La firme d’ingénierie Stantec a été mandatée l'an dernier pour mener une étude de faisabilité sur l'établissement d'un centre culturel francophone dans la capitale territoriale. En plus d'espaces pour loger les principaux organismes franco-ténois, le centre comprendrait des espaces communautaires et culturels publics. Dans cet entretien à l'émission "Bonjour, là!", Mme Bussey laisse entendre que les francophones des TNO devront faire des choix, car leurs moyens sont en définitive limités. Là, on est rendu [à envisager] une salle multifonctionnelle. Il y aurait toujours la capacité d'y tenir des spectacles, mais ce ne serait pas la salle [de concert] qu'on avait mis sur papier. - Linda Bussey, directrice générale de la FFT L'ancien site de Ecology North sur la 51e rue serait envisagé pour une éventuelle construction, mais la directrice générale de la FFT évoque aussi la possibilité de construire sur le terrain de l'actuelle "Maison Bleue" où sont logés la FFT et certains autres organismes francophones (dont Radio Taïga). L'idée de combiner le projet de centre culturel avec l'établissement d'une nouvelle bibliothèque publique pour Yellowknife semble, en outre, définitivement écartée. Une ultime consultation publique sur le projet aura lieu le mardi 11 février à 18 h à la Northern United Place. C'est le dernier droit pour finaliser le projet. Une proposition doit être soumise aux bailleurs de fonds fédéraux à la fin mars 2020. Notre entretien avec la directrice générale de la FFT, Linda Bussey

  • Un plan pour abattre plus de loups

    Le gouvernement des TNO, en collaboration avec le gouvernement Tłı̨chǫ , a mis à jour son programme de gestion des loups du Slave Nord. L'initiative vise à ce que plus de loups soient abattus dans cette région afin de réduire la prédation des hardes de caribous. Le programme de gestion sur cinq ans à trois volets principaux: la formation des chasseurs-trappeurs, la surveillance et l'abattage des loups. On vise l'abattage de près de 300 loups par année. Des primes seront notamment offertes aux chasseurs qui ramèneront des carcasses. L'initiative s'inscrit dans le plan de sauvegarde des hardes de caribous Bathurst et Bluenose-East dont les effectifs ont été décimées aux cours des trente dernières années. Alexander Jones nous explique de quoi il en retourne.

  • Sami: le roi de l'underground de Yellowknife

    Bonjour, là! Le musicien électronique Sami Blanco est passé nous voir en studio pour nous parler de ses nombreux projets. Depuis quelques années il partage un atelier de création multi-disciplinaire grâce à sa participation au programme de mentorat du Northern Arts and Cultural Centre. Il nous explique comment le fait de côtoyer des artistes de différentes disciplines influence sa création. [Comme artiste] à un moment donné tu essais de briser ce que tu connais, de faire de nouvelles découverte. Mais c'est facile quand, dès que tu ouvres la porte, il y a d'autres artistes qui sont là, qui sont en train de créer, qui travaillent sur d'autres projets. Le nouveau groupe de Sami, Swimmers, un trio électro-punk, sera de l'alignement du concert Slime présenté ce samedi au Centre Square Mall. On le retrouvera aussi au NACC le 14 février au sein du duo Miraj dans le cadre de la série de concerts Northern Scene. Il sera enfin sur la scène du château de neige en mars l'occasion du Rave Castle. Notre entretien avec le roi de l'underground de Yellowknife, Sami Blanco

  • Jeunesse Canada au Travail - Radio Taïga est à la recherche d'un.e chargé.e de projets.

    Chargé.e.s de projet : événements et projets spéciaux recherché.e. La Société Radio Taïga est à la recherche d’un.e coordonnateur.trice aux événements et projets spéciaux pour se joindre à notre équipe dans le cadre des stages d’été de Jeunesse Canada au Travail 2020. Période d'emploi : 19 mai au 4 septembre 2020 Horaire de travail : 37,5 heures par semaine, heures flexibles Rémunération : 19,5 $ par heure + transport (vers et depuis Yellowknife) Lieu de travail : à Yellowknife, situé sur le territoire du chef Drygeese, terre traditionnelle des Dénés Yellowknives et des Métis du Slave Nord ; La langue de travail est le français, mais le bilinguisme est essentiel ; RESPONSABILITÉS Planifier, organiser et coordonner les événements d’été de Radio Taïga tels que : Musique’o’Marché, Folk on the Rocks, Festivités de la Saint-Jean, Radiothon, etc • Logistique - Assurer la logistique des événements : horaires, besoins techniques, bénévoles, photos, vidéos, sons, etc ; - Inventorier et manipuler du mobilier, de l’équipement technique de son, et du matériel promotionnel, avec le soin approprié (formations offertes) ; - Aménager les espaces où se déroulent les événements ; - Sonoriser, diffuser et enregistrer les événements (formations offertes) ; • Communications - Produire le matériel promotionnel, multimédia, lié aux événements ; - Coordonner à l’interne et à l’externe la promotion, l’information et la publicité relative aux événements sous sa gestion ; - Assurer les relations avec les artistes invité.e.s et partenaires existant.e.s ; - Animer les événements auprès du public ; nous sommes une station de radio, attendez-vous à prendre le micro, en ondes ou en public. • Général - Adopter une attitude professionnelle, ouverte, respectueuse et constructive ; - Veiller au bon déroulement des activités en collaboration avec l'équipe de Radio Taïga, des partenaires et des artistes ; - Effectuer toutes autres tâches connexes ; EXIGENCES Être admissible au programme de Jeunesse Canada au Travail ; https://www.canada.ca/fr/patrimoine-canadien/services/financement/jeunesse-canada-travail/etudiants-diplomes/etablissements-patrimoine-etudiants.html Avoir un diplôme d’études collégiales ou universitaires touchant les domaines suivants : communications, loisirs, gestion de projets ; Expérience en gestion d’événements à portée publique et / ou médiatique, un atout ; Excellentes capacités rédactionnelles ; Excellente capacité relationnelle et sens aigu de l’organisation ; Bonne capacité d’initiative et d’adaptation, autonomie ; Anglais parlé fonctionnel ; Bonne maîtrise des outils de communication multimédia (Office, Suite Adobe, etc) ; Permis de conduire valide ; Les personnes intéressées qui répondent aux exigences énoncées ci-dessus sont invitées à soumettre, leur curriculum vitæ accompagné d’une présentation orale de vos motivations à l’adresse courriel suivante : civr@radiotaiga.com. (maximum 2 minutes, format mp3), au plus tard le 15 mars 2020, à 23 h 59, (HNM). Pour plus d’information, posez vos questions à Nicolas en utilisant le même courriel. Radio Taïga remercie d’avance, chacun.e des candidat.e.s. Seules les personnes sélectionnées seront contactées pour une entrevue. Radio Taïga invite les personnes appartenant à un large éventail de groupes et communautés à présenter leur candidature, y compris en ce qui a trait à la langue, l’origine ethnoculturelle, le sexe, l’identité de genre ou sexuelle, l’âge, les croyances religieuses et les capacités.

  • Entrevue: Daniel Vandal, ministre du Nord

    Le député de St-Boniface-St-Vital, Daniel Vandal, est le tout premier ministre fédéral à porter le titre de ministre des Affaires du Nord. Il a bien voulu répondre aux questions de Batiste Foisy à l'émission "Bonjour, là!". Il se présente et explique son rôle et exprime un désir de porter les dossiers et préoccupations des résidents du Nord au sein du cabinet Trudeau. Dans cette entrevue, le ministre Daniel Vandal aborde différents dossiers: le logement, les relations intergouvernementales, les changements climatiques et l'éducation post-secondaire. Écoutez notre entretien avec le ministre des Affaires du Nord, Daniel Vandal

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